Le prochain groupe de parole et de soutien pour les femmes victimes de
harcèlement moral et de violences psychologiques dans le couple, la famille et l'entreprise, aura lieu le lundi 15
juin 2015 de 20h à 23h à Paris 11.
Le groupe est co-animé par la coach Sophie Soria-Glo et un avocat,
tous deux spécialisés dans le traitement de ces problématiques.
Ce groupe de parole et de soutien qui a lieu chaque mois depuis octobre 2013 et a accueilli plus d'une centaine de femmes, est une initiative de Sophie Soria-Glo en lien avec l'Association 1901 AVHMVP de Nantes dont elle est la secrétaire et qu'elle représente à Paris de façon bénévole.
AVHMVP : Aide aux victimes de harcèlement moral et de violences psychologiques dans la vie privée ou professionnelle.
L'adresse de la réunion du groupe de parole du lundi 15 juin vous sera communiquée lors
de votre inscription par mail à mon adresse pro : coachingethique@gmail.com
Nous organisons aussi un stage à don libre avec l'association AVHMVP pour se reconstruire après du harcèlement moral dans la vie privée ou pro. Dates : les samedis 20 et 27 juin 2015 de 10h à 18h. Voir article de blog précédent sur ce sujet. L'inscription est indispensable aussi en nous envoyant un mail.
Le groupe de parole et le stage sont réservés aux femmes victimes de violences et de harcèlement dans la vie privée ou leur profession. Il est interdit de venir au groupe ou au stage pour vendre ses produits ou ses services aux participantes qui ne viennent pas là pour être victimes d'agressions par démarchage commercial. Merci.
Qu'est-ce qu'un groupe de parole et à quoi ça sert
?
Le Groupe de Parole et de
Soutien anti-manipulateurs est un accompagnement spécifique pour les femmes qui subissent du harcèlement
moral et des violences dans la vie privée ou pro :
Ø Violences psychologiques et/ou physiques voire
sexuelles dans le couple.
Ø Harcèlement moral et/ou sexuel au travail.
Ø
Harcèlement par un ex
conjoint et instrumentalisation des enfants post-divorce.
Ø
Harcèlement par un membre
de la famille.
Ø
Harcèlement par des voisins
ou sur le Net…
Un Groupe de Parole n’est pas une thérapie mais il fonctionne par les méthodes
du coaching avec la liberté du choix des thèmes par chacune des participantes.
Ce Groupe donne la possibilité à des femmes, qui ne veulent plus être victimes,
d’obtenir des solutions stratégiques avec l’aide du coach et du groupe, ainsi
que des conseils par l’avocat spécialiste en Droit du Travail et de la Famille.
Le
coaching de développement personnel et les conseils juridiques vous donnent les
ressources indispensables pour devenir stratège et pour trouver la bonne
méthode qui permet de s’en sortir.
Le Groupe est donc une ressource de vie, animé par la coach dans le respect de
vos valeurs.
Vous
pouvez venir quand vous voulez : le Groupe est sans engagement d’assiduité.
Le seul engagement demandé est celui de la confidentialité, de la bienveillance
et de l’éthique entre les participantes.
Anonymat
garanti.
Messieurs et démarcheurs s’abstenir.
Pot
convivial offert à votre arrivée.
Groupe animé
de façon bénévole par la coach et l’avocat spécialistes.
Participation
aux frais 5 Euros pour la location de la salle.
Portrait de Sophie
Soria-Glo
Sophie
Soria-Glo est coach certifiée depuis 15
ans, formée dans la méthode « Reconstruire
sa Vie Adulte » du psy et coach américain Frederic Hudson, une méthode
reconnue aux USA et en France.
Elle a été formée aux méthodes de l’entretien
non-directif et semi-directif, à la PNL, à l’Analyse Transactionnelle, au
coaching de dirigeants en individuel et en équipe ainsi qu’au coaching en
groupe.
A
partir de 2005, elle s’oriente vers le coaching selon les méthodes indiquées
par le Christ dans l’Evangile et écrit son célèbre ouvrage « UN COACH NOMMÉ JÉSUS »
publié par un grand éditeur du développement personnel.
Pour
éviter tout conflit d’intérêt avec sa Foi et ses valeurs, elle arrête alors le
coaching d’entreprise.
Elle
coache des particuliers en quête de sens, de bonheur et de vérité dans leur vie
perso et pro et apporte son aide à de nombreux créateurs d’entreprise,
personnes en recherche d’emploi, femmes désirant retravailler après avoir élevé
leurs enfants, managers en recherche de sens dans leur profession.
Son expérience du coaching individuel et de
la médiation dans les entreprises ainsi que son profil de juriste lui apportent
un « plus » par rapport aux autres coachs qui accompagnent des
particuliers.
A
partir de 2009, elle se réoriente vers le coaching des femmes en difficulté,
voulant reconstruire leur vie après un 1er échec personnel ou
professionnel.
Tout
son parcours auprès des victimes autant qu’avec les gens qui réussissent a
permis à Sophie Soria-Glo d’établir une
méthodologie avec les critères de la
réussite pour les femmes qui veulent combler les failles dans leur personnalité
afin d’être plus performantes et quasi-invulnérables dans le combat de la vie et
de la liberté.
Car
bien des blessures personnelles nous empêchent d’avancer dans la voie du succès
professionnel.
Pour vous inscrire au groupe de parole du 15 juin 2015 et / ou au stage à don libre des 20 et 27 juin 2015 prochains, envoyez-moi
un mail à : coachingethique@gmail.com
La roue du pouvoir et du contrôle a été élaborée aux USA par le DOMESTIC ABUSE INTERVENTION PROJECT à Duluth dans le Minnesota. Elle permet de donner des critères pour savoir si la femme est l'objet ou pas de violences dans le couple car la violence recouvre plusieurs secteurs : l'estime de soi, l'argent, la vie professionnelle et sociale, la relation à l'autre, l'utilisation des enfants victimes ou témoins de ces violences du couple, etc.
Les chiffres en France et dans le monde
LE HARCELEMENT MORAL ET LES VIOLENCES
DANS LA VIE PRIVEE ET PROFESSIONNELLE
UN PHENOMENE D’AMPLEUR MONDIALE
Savez vous que dans
le couple et la famille :
- 1 femme sur 10 subit des violences
psychologiques et/ou physiques de la part de son conjoint.
- Mais dans 2 cas sur 3, la violence conjugale est gardée
sous silence par les victimes elles-mêmes.
D’où
l’importance d’un groupe de parole pour briser le silence car cela sauve des
vies humaines de femmes et d’enfants.
- L’ONU affirme que plus que la guerre, la
violence conjugale est la forme la plus courante de violence dans le monde.
Dans 85% des cas, les femmes en sont les victimes.
- En France, une femme meurt tous les 2 jours et
demi de violences conjugales.
- 121 femmes et 13 enfants ont été tués en 2013
en France, suite à des violences dans le couple.
- 23 enfants ont été témoins d’un tel crime.
- Chaque année 400 000 femmes en France sont
touchées par les violences conjugales, que ces violences soient physiques (2,5%
des cas), sexuelles (1%), verbales (4,3%), psychologiques (37%) ou économiques.
- Entre 80 % et 90 % des enfants vivent au domicile
où s’exercent les violences et y sont exposés.
- 18 % de ces enfants sont maltraités
directement. Les enfants qui ne sont pas maltraités directement sont témoins de
ces violences, ce qui leur provoque aussi un traumatisme psychologique grave.
- Les conséquences sont graves pour la santé des
enfants victimes ou témoins de ces violences : peur, anxiété, angoisse, stress,
perte estime de soi, dépression, troubles de l’alimentation et du sommeil,
énurésie, phobies, automutilations, tentatives de suicide…
- Dans les divorces dits "conflictuels", soit 10%
des divorces en France selon le Ministère de la Justice, les violences
conjugales, physiques ou psychologiques sur la femme et les enfants mineurs
sont la cause la plus évoquée.
Il ne s'agit donc pas de "conflit"
mais bel et bien de harcèlement et de violences au sein du couple et de la
famille. Les enfants ne sont pas
épargnés, bien au contraire.
- 58% des femmes victimes et 60% des enfants
exposés à ces violences développent des troubles psycho-somatiques sévères.
- Dans 80% des cas, l’auteur des violences
exercées sur les femmes dans le huis-clos familial est un mari ou un concubin.
Dans les autres cas, la violence provient de
l'entourage de la famille ou d'un parent éloigné.
- Dans 6% des cas, c’est un ex-mari ou amant.
- Cependant en France, les pères qui demandent
la résidence alternée des enfants en cas de divorce soit environ 20% des pères,
obtiennent à 93% d'entre eux le droit de garde des enfants y compris dans les
cas de violences conjugales avérées et/ou de maltraitances et d'abus sur les
enfants et ceci en raison de l'idéologie du maintien des liens familiaux y
compris avec un parent toxique.
Alors que la Justice de la France devrait
protéger ces enfants et que tous les plus grands
psychiatres spécialistes du monde recommandent la mise à distance du parent
maltraitant pour que l’enfant puisse se reconstruire.
L’ONED,
Observatoire National de l’Enfance en danger a comptabilisé en 2011 :
- Viols sur
mineur(e)s : 5423 victimes recensées en 2011.
- Harcèlements sexuels et autres agressions sexuelles contre des mineur(e)s : 8
047 victimes recensées en 2011.
- Homicides commis contre enfants de moins de 15 ans : 57 victimes recensées en
2011.
- Violences, mauvais
traitements et abandons d’enfants : 17889 victimes recensées en 2011.
- Un même enfant peut se retrouver comptabilisé dans plusieurs catégories.
Le
119 est un numéro gratuit ouvert 24h/24 qui a
pour but de faciliter le dépistage des situations de maltraitance des enfants
et de protection de mineurs en danger.
Toujours
selon les chiffres de l’ONED, en 2011, sur 583 139 appels décrochés par le 119,
32 414 appels (+5,5% depuis 2009) ont été traités. Deux tiers de ces appels qui
sont principalement émis par un membre de la famille proche ont donné lieu à
une aide immédiate lorsque le 119 exerce sa mission de conseil, de prévention
et d’orientation et un tiers de ces appels d’urgence a été transmis aux
départements.
15
944 enfants sont concernés par ces transmissions principalement pour des faits
de violences physiques et psychologiques même si les cas de négligences lourdes
sont en augmentation.
Sur le taux de retour de transmission de 80%, 60% des familles n’étaient pas
connues pour des faits de maltraitance et 50% des mesures prises suite à la
transmission sont des mesures judiciaires.
Le
rapport de l’ONED « Le chiffre noir de l’enfance en danger » datant
de 2008 déclare que parmi les 11% de femmes déclarant
avoir subi au moins une fois des violences sexuelles, 40% ont subi une 1ère
violence sexuelle durant l’enfance.
Dans sa note
sur les données chiffrées de l’enfance en danger, l’ONED explique la situation
préoccupante des violences dans la famille.
« Les
enfants en danger regroupent deux types de population bien distincts :
- d’une part
les enfants repérés comme en danger et protégés par les services de protection
de l’enfance.
- d’autre part
les enfants en danger au sein de leur cellule familiale qui ne bénéficient
d’aucune protection car leur situation de danger n’a pas été repérée par les
différentes institutions. Il est difficile d’avoir une idée du nombre d’enfants
faisant partie de cette seconde catégorie, justement parce qu’ils ne sont pas
repérés. » ONED.
Un Groupe de Parole n’est pas une thérapie mais il fonctionne par les méthodes du coaching avec la liberté du choix des thèmes par chacune des participantes.
Ce Groupe donne la possibilité à des femmes, qui ne veulent plus être victimes, d’obtenir des solutions stratégiques avec l’aide du coach et du groupe, ainsi que des conseils par l’avocat spécialiste en Droit du Travail et de la Famille.
Le Groupe est donc une ressource de vie, animé par la coach dans le respect de vos valeurs.
Le seul engagement demandé est celui de la confidentialité, de la bienveillance et de l’éthique entre les participantes.
LE HARCELEMENT MORAL ET LES VIOLENCES
DANS LA VIE PRIVEE ET PROFESSIONNELLE
UN PHENOMENE D’AMPLEUR MONDIALE
Savez vous que dans
le couple et la famille :
- 1 femme sur 10 subit des violences psychologiques et/ou physiques de la part de son conjoint.
- 1 femme sur 10 subit des violences psychologiques et/ou physiques de la part de son conjoint.
- Mais dans 2 cas sur 3, la violence conjugale est gardée
sous silence par les victimes elles-mêmes.
D’où
l’importance d’un groupe de parole pour briser le silence car cela sauve des
vies humaines de femmes et d’enfants.
- L’ONU affirme que plus que la guerre, la violence conjugale est la forme la plus courante de violence dans le monde. Dans 85% des cas, les femmes en sont les victimes.
- En France, une femme meurt tous les 2 jours et demi de violences conjugales.
- 121 femmes et 13 enfants ont été tués en 2013 en France, suite à des violences dans le couple.
- 23 enfants ont été témoins d’un tel crime.
- Chaque année 400 000 femmes en France sont touchées par les violences conjugales, que ces violences soient physiques (2,5% des cas), sexuelles (1%), verbales (4,3%), psychologiques (37%) ou économiques.
- Entre 80 % et 90 % des enfants vivent au domicile où s’exercent les violences et y sont exposés.
- 18 % de ces enfants sont maltraités directement. Les enfants qui ne sont pas maltraités directement sont témoins de ces violences, ce qui leur provoque aussi un traumatisme psychologique grave.
- Les conséquences sont graves pour la santé des enfants victimes ou témoins de ces violences : peur, anxiété, angoisse, stress, perte estime de soi, dépression, troubles de l’alimentation et du sommeil, énurésie, phobies, automutilations, tentatives de suicide…
- Chaque année 400 000 femmes en France sont touchées par les violences conjugales, que ces violences soient physiques (2,5% des cas), sexuelles (1%), verbales (4,3%), psychologiques (37%) ou économiques.
- Entre 80 % et 90 % des enfants vivent au domicile où s’exercent les violences et y sont exposés.
- 18 % de ces enfants sont maltraités directement. Les enfants qui ne sont pas maltraités directement sont témoins de ces violences, ce qui leur provoque aussi un traumatisme psychologique grave.
- Les conséquences sont graves pour la santé des enfants victimes ou témoins de ces violences : peur, anxiété, angoisse, stress, perte estime de soi, dépression, troubles de l’alimentation et du sommeil, énurésie, phobies, automutilations, tentatives de suicide…
- Dans les divorces dits "conflictuels", soit 10%
des divorces en France selon le Ministère de la Justice, les violences
conjugales, physiques ou psychologiques sur la femme et les enfants mineurs
sont la cause la plus évoquée.
Il ne s'agit donc pas de "conflit" mais bel et bien de harcèlement et de violences au sein du couple et de la famille. Les enfants ne sont pas épargnés, bien au contraire.
- 58% des femmes victimes et 60% des enfants exposés à ces violences développent des troubles psycho-somatiques sévères.
- Dans 80% des cas, l’auteur des violences exercées sur les femmes dans le huis-clos familial est un mari ou un concubin.
Dans les autres cas, la violence provient de l'entourage de la famille ou d'un parent éloigné.
- Dans 6% des cas, c’est un ex-mari ou amant.
- Cependant en France, les pères qui demandent la résidence alternée des enfants en cas de divorce soit environ 20% des pères, obtiennent à 93% d'entre eux le droit de garde des enfants y compris dans les cas de violences conjugales avérées et/ou de maltraitances et d'abus sur les enfants et ceci en raison de l'idéologie du maintien des liens familiaux y compris avec un parent toxique.
Alors que la Justice de la France devrait protéger ces enfants et que tous les plus grands psychiatres spécialistes du monde recommandent la mise à distance du parent maltraitant pour que l’enfant puisse se reconstruire.
Il ne s'agit donc pas de "conflit" mais bel et bien de harcèlement et de violences au sein du couple et de la famille. Les enfants ne sont pas épargnés, bien au contraire.
- 58% des femmes victimes et 60% des enfants exposés à ces violences développent des troubles psycho-somatiques sévères.
- Dans 80% des cas, l’auteur des violences exercées sur les femmes dans le huis-clos familial est un mari ou un concubin.
Dans les autres cas, la violence provient de l'entourage de la famille ou d'un parent éloigné.
- Dans 6% des cas, c’est un ex-mari ou amant.
- Cependant en France, les pères qui demandent la résidence alternée des enfants en cas de divorce soit environ 20% des pères, obtiennent à 93% d'entre eux le droit de garde des enfants y compris dans les cas de violences conjugales avérées et/ou de maltraitances et d'abus sur les enfants et ceci en raison de l'idéologie du maintien des liens familiaux y compris avec un parent toxique.
Alors que la Justice de la France devrait protéger ces enfants et que tous les plus grands psychiatres spécialistes du monde recommandent la mise à distance du parent maltraitant pour que l’enfant puisse se reconstruire.
L’ONED,
Observatoire National de l’Enfance en danger a comptabilisé en 2011 :
- Viols sur
mineur(e)s : 5423 victimes recensées en 2011.
- Harcèlements sexuels et autres agressions sexuelles contre des mineur(e)s : 8 047 victimes recensées en 2011.
- Homicides commis contre enfants de moins de 15 ans : 57 victimes recensées en 2011.
- Violences, mauvais
traitements et abandons d’enfants : 17889 victimes recensées en 2011.
- Un même enfant peut se retrouver comptabilisé dans plusieurs catégories.
Le
119 est un numéro gratuit ouvert 24h/24 qui a
pour but de faciliter le dépistage des situations de maltraitance des enfants
et de protection de mineurs en danger.
Toujours
selon les chiffres de l’ONED, en 2011, sur 583 139 appels décrochés par le 119,
32 414 appels (+5,5% depuis 2009) ont été traités. Deux tiers de ces appels qui
sont principalement émis par un membre de la famille proche ont donné lieu à
une aide immédiate lorsque le 119 exerce sa mission de conseil, de prévention
et d’orientation et un tiers de ces appels d’urgence a été transmis aux
départements.
15
944 enfants sont concernés par ces transmissions principalement pour des faits
de violences physiques et psychologiques même si les cas de négligences lourdes
sont en augmentation.
Sur le taux de retour de transmission de 80%, 60% des familles n’étaient pas connues pour des faits de maltraitance et 50% des mesures prises suite à la transmission sont des mesures judiciaires.
Le
rapport de l’ONED « Le chiffre noir de l’enfance en danger » datant
de 2008 déclare que parmi les 11% de femmes déclarant
avoir subi au moins une fois des violences sexuelles, 40% ont subi une 1ère
violence sexuelle durant l’enfance.
Dans sa note
sur les données chiffrées de l’enfance en danger, l’ONED explique la situation
préoccupante des violences dans la famille.
« Les
enfants en danger regroupent deux types de population bien distincts :
- d’une part
les enfants repérés comme en danger et protégés par les services de protection
de l’enfance.
- d’autre part
les enfants en danger au sein de leur cellule familiale qui ne bénéficient
d’aucune protection car leur situation de danger n’a pas été repérée par les
différentes institutions. Il est difficile d’avoir une idée du nombre d’enfants
faisant partie de cette seconde catégorie, justement parce qu’ils ne sont pas
repérés. » ONED.
- 22% soit 1 salarié sur 5 en France est victime
de harcèlement moral au travail.
- 16% des salariés sont au placard, soit environ
2 millions de personnes, le placard étant une forme subtile de harcèlement
moral au travail.
- Selon la CNAM, 100 suicides par an sont
répertoriés comme ayant pour cause le travail.
Mais ce sont seulement les suicides reconnus par
la Sécurité Sociale.
Selon d'autres chiffres, chaque jour 1 personne
se suicide en France à cause du harcèlement ou du stress au travail.
- Les femmes sont les principales victimes du
harcèlement moral et sexuel dans leur emploi.
- En France, 1 femme sur 2 vit du harcèlement
moral sur son lieu de travail.
- 22% des femmes ont connu une situation de
harcèlement sexuel au travail soit 1 femme sur 5.
- 10% des femmes ont connu des discriminations
liées au sexe.
- Sur un plan plus général, l'ONU affirme que : "La violence contre les femmes
est une violation des droits de l'homme. La violence contre les femmes et les
filles n'est pas inéluctable. Sa prévention est non seulement possible mais
essentielle. La violence contre les femmes est un problème mondial. 70% des
femmes sont victimes de la violence au cours de leur vie."
Les références en Droit pour se défendre
face à du harcèlement
dans la vie privée ou professionnelle
Harcèlement moral dans le couple : la loi du 9 juillet 2010
Le texte de la loi sur Légifrance : http://bit.ly/1cXyv4J
Et son explication sur le site Vie Publique :http://bit.ly/1Ar2xJk
Les enfants témoins de violences conjugales : c'est un droit d'être protégé d'un climat de violences et d'abus. Ces enfants au centre des violences dans un couple doivent être protégés car ils sont considérés à ce titre comme des victimes par le Conseil de l'Europe. Cet argument peut etre utilisé devant la Justice en France.
Document de synthèse à consulter sur le site de l'ONED, Observatoire national de l'enfance en danger : http://bit.ly/1RjP5Lk
- 22% soit 1 salarié sur 5 en France est victime de harcèlement moral au travail.
- 16% des salariés sont au placard, soit environ 2 millions de personnes, le placard étant une forme subtile de harcèlement moral au travail.
- Selon la CNAM, 100 suicides par an sont répertoriés comme ayant pour cause le travail.
Mais ce sont seulement les suicides reconnus par la Sécurité Sociale.
Selon d'autres chiffres, chaque jour 1 personne se suicide en France à cause du harcèlement ou du stress au travail.
- Les femmes sont les principales victimes du harcèlement moral et sexuel dans leur emploi.
- En France, 1 femme sur 2 vit du harcèlement moral sur son lieu de travail.
- 22% des femmes ont connu une situation de harcèlement sexuel au travail soit 1 femme sur 5.
- 10% des femmes ont connu des discriminations liées au sexe.
- Sur un plan plus général, l'ONU affirme que : "La violence contre les femmes est une violation des droits de l'homme. La violence contre les femmes et les filles n'est pas inéluctable. Sa prévention est non seulement possible mais essentielle. La violence contre les femmes est un problème mondial. 70% des femmes sont victimes de la violence au cours de leur vie."
Les références en Droit pour se défendre
face à du harcèlement
dans la vie privée ou professionnelle
Harcèlement moral dans le couple : la loi du 9 juillet 2010
Le texte de la loi sur Légifrance : http://bit.ly/1cXyv4J
Et son explication sur le site Vie Publique :http://bit.ly/1Ar2xJk
Les enfants témoins de violences conjugales : c'est un droit d'être protégé d'un climat de violences et d'abus. Ces enfants au centre des violences dans un couple doivent être protégés car ils sont considérés à ce titre comme des victimes par le Conseil de l'Europe. Cet argument peut etre utilisé devant la Justice en France.
Document de synthèse à consulter sur le site de l'ONED, Observatoire national de l'enfance en danger : http://bit.ly/1RjP5Lk