Campagne d'adhésions et de dons. Recherche de financements. Notre association A.V.H.M.V.P. reconnue d'intéret général lance une pétition au Parlement Européen pour que les lois en faveur des enfants et femmes victimes de harcèlement et de violences psychologiques soient enfin appliquées en France.
Nous avons besoin de vos dons pour payer un avocat spécialiste qui rédigera la requête. Les dons des particuliers à notre asso sont défiscalisables à 60%. Nous avons besoin aussi d'augmenter notre nombre d'adhérents afin de peser d'un plus grand poids dans la négociation avec l'Europe.
Adhérez ! Donnez ! Participez à la création du 1er lobby de victimes en Europe car d'autres pays nous rejoindront. Par Facebook nous avons déjà des contacts avec des femmes victimes dans 3 autres pays de l'Europe.
Nous devons rémunérer un avocat spécialiste et et engager des frais. Aidez-nous à aider les enfants et les femmes victimes de violences en France et en Europe !
Aidez-nous à stopper les dysfonctionnements que tout le monde connait mais dont personne ne parle.
Serait-ce un sujet tabou en France alors que les institutionnels refusent de venir au colloque que nous organisons à Nantes - au Carré des Services Publics de St Herblain - le 4 juin prochain ?
On m'a dit qu'ils n'ont pas le droit de répondre aux questions des victimes issues autant de la salle que de la tribune où on fait monter les victimes et où on leur donne la parole car nous sommes une association de victimes et de victimes d'abord. Pas de pervers engagés dans l'associatif pour faire plus de victimes encore en leur donnant de faux conseils et en faisant semblant que tout marche bien pour les victimes en France.
Le refus des institutions des Droits des Femmes, de la Police et de la Justice à venir s'engager à nos côtés lors du colloque de notre asociation AVHMVP le 4 juin à Nantes alors que nous sommes une association officielle qui a pignon sur rue, m'a donné une idée : lancer par nous-mêmes une action légale en Europe alors qu'au départ, il y a quelques mois, j'avais conseilé à quelqu'un d'autre de le faire.
Nous ne sommes pas des pestiférés : pourquoi les pouvoirs publics ne veulent pas venir et dialoguer avec nous ?
Si vous voulez adhérer : l'adhésion à notre Association AVHMVP n'est pas déduite de vos impôts, 30 Euros par an donnant droit à tous nos groupes de parole gratuits.
Si vous voulez être le généreux donateur ou la généreuse donatrice qui va m'aider à présenter la pétition juridique au Parlement Européen afin de faire respecter le Droit des victimes de violences psychologiques et la protection des enfants en France dans le cadre des familles de manipulateurs pervers et toxiques, votre don quelqu'il soit (don libre selon vos moyens) sera en effet défiscalisable à 60%.
Vous recevrez un rescrit fiscal à ajouter à votre feuille de déclaration d'impôts.
En effet, il faut payer un avocat qui va présenter notre demande et la rédiger de façon à ce que ça soit accepté et non pas rejeté parce qu'on n'est que des amateurs.
Venez aussi nous rencontrer à notre colloque du 4 juin à Nantes / St Herblain en vous inscrivant ici:
https://www.weezevent.com/colloque-harcelement-moral-dans-la-vie-privee-et-pro
A quoi sert la pétition au Parlement Européen ?
Une pétition au Parlement Européen selon l'article 227 du Traité de l'Union ou "Traité de Lisbonne" permet à tout citoyen ou tout groupe de citoyens réclamer un contrôle de légalité et une sanction contre son pays qui ne respecte pas les lois de l'Europe.
Je simplifie pour celles et ceux qui ne sont pas juristes.
Ainsi tous les scandales et dysfonctionnements de la Justice des victimes seront sanctionnés non pas par la France qui est l'auteur de ces dérives injustes mais par l'Europe qui est comme un gendarme au-dessus de la France.
On ne va pas dire une fois encore à nos instances nationales que la France ne respecte pas les lois et on ne va pas s'adresser à un ministre de la France pour réclamer nos droits et revendiquer.
En la matière, ces ministres n'ont pas de pouvoir car la Justice dysfonctionne de façon systémique dans le pays.On va aller direct au plus haut : on va aller revendiqeur et réclamer devant l'Europe qui sanctionnera la France et non l'inverse.
Attention pour ceux qui ne comprennent pas : ce n'est pas la France qui va sanctionner et obliger l'Europe mais c'est le contraire !
L'objectif est que l'EUROPE contraigne la FRANCE à appliquer le Droit européen et français A LA FOIS pour protéger les victimes innocentes.
On va affirmer entre autres à l'Europe sur la base de témoignages et de preuves étayées par un avocat - juriste et Docteur en Droit qui travaille avec nous - que la France ne respecte pas :
1- La Convention Européenne des Droits de l'Homme qui exige la protection des personnes vunérables donc des plus faibles. Ainsi les enfants et femmes victimes entrent dans la catégorie concernée.
2- La Convention dite d'Istambul qui n'est pas une loi de Turquie comme certains incultes le croient mais qui est la Convention Européenne du Conseil de l'Europe contre la violence intra-familiale.
Cette Convention lutte en particuler contre la violence sexiste car elle considère que la violence envers les femmes dans le couple et la famille est une violence de genre.
La Convention du Conseil de l'Europe contre la violence dans la famille est un Traité international signé et ratifié par la France en 2014 et qui a force de loi de façon supérieure à la loi de chaque pays.
Il s'agit d'une subtilité juridique sur la hiérarchie des normes du Droit car le droit européen issu d'un Traité international doit s'appliquer dans chaque pays signataire et sa force est plus puisante sur le plan légal que la loi du pays concerné.
La Convention dite d'istambul qui n'est pas une loi de la Turquie (LOL) oblige par exemple chaque pays qui l'a signée à former TOUS les professionnels en relation avec la famille à la détection et à la prévention des violences intra-familiales : magistrats, policiers, gendarmes, educateurs sociaux, experts psychiatres des tribunaux, enqueteurs sociaux de la Justice, etc. etc. doivent suivre des formations adéquates.
Le but est bien entendu de ne pas donner la garde de l'enfant au pervers manipulateur dans le cadre des divorces avec conflit de garde où l'enfant est pris en otage par le conjoint violent, tordu et pervers qui instrumentalise l'enfant ou les enfants, ainsi que la France et sa Justice en se faisant passer pour la victime lui-même et en volant la garde des enfants à la mère déjà victime de sa violence afin de se venger du divorce où elle lui échappe.
Or en France cette formation des pros et fonctionnaires n'est pas faite.
Soi-disant il n'y a pas d'argent pour ça.
Or du fric il y en a en France comme par exemple pour mettre un plug anal géant sur la place de la Concorde ou un vagin de la Reine à Versailles comme étant parait-il des oeuvres d'art majeures qui feront rayonner le pays.
Ce gaspilage est minime MAIS des gaspillages comme ça il y en a des tonnes donc avec un peu d'économies à droite et à gauche, on peut respecter le droit des victimes déclaré par l'Europe et on organise ces formations sur le plan légal et obligatoire pour tous les professionnels de la Justice et pas des petites formations par des associations de quasi-bénévoles où ne voit jamais un magistrat pointer son nez parce qu'il n'est pas obligé sur le plan légal à aller à ces stages de formation et à les suivre ensuite en prenant ses décisions dans son tribunal.
Le magistrat fait ce qu'il veut mais il y a quand meme des lois à respecter en Europe et dans chaque pays chacun doit respecter sa loi de son pays à soi.
Ainsi la loi française du 9 juillet 2010 contre la violence psychologique dans le couple et les conséquences sur les enfants n'est pas appliquée par la Justice car on ne peut pas prouver les violences psychologiques vu que les magistrats ne sont pas formés.
ET il y a des multiples exemples comme ça qu'on va lister dans notre LIVRE BLANC DES DROITS DES VICTIMES et qu'on va aller présenter en pétition au parlement de l'Europe où une Commission spécialisée étudiera si on a raison ou tort.
Il faut donc aller et se présenter devant une instance au-dessus des lois nationales de la France pour obliger non pas l'Europe mais la France à respecter ce droit des plus faibles à être protégés par leur pays d'origine et à ne pas finir en foyer de la DDASS après avoir été des enfants violés, abusés et maltraités par leur père, ce qui leur fait la double peine et est profondément injuste.
Chères Mamans victimes, chacune d'entre vous sait de quoi je parle et il suffit de quelques Euros chacune pour engager un avocat qui défendra nos droits de façon COLLECTIVE.
Je dis "nos" droits car je me sens concernée, ayant été en engagement dans ce combat pour protéger des enfants martyrs dans ma propre famille élargie.
Je vous en supplie, envoyez votre adhésion à l'association de défense des droits des victimes dont je suis la secrétaire nationale.
Aidez-vous à vous aider et à sortir de ce bourbier où la loi nous enferme.
On a besoin d'argent pour payer l'avocat qui prendra en charge la procédure de pétionner au Parlement Européen.
Sur le site du Parlement Européen, voila l'explication de ce qu'est la pétition :
"Un des droits fondamentaux du citoyen européen : À n'importe quel moment, tout citoyen, à titre individuel ou en association avec d'autres, peut exercer son droit de pétition auprès du Parlement européen conformément à l'article 227 du traité sur le fonctionnement de l'Union européenne.
Tout citoyen de l'Union européenne ou toute personne résidant dans un État membre peut adresser au Parlement européen, individuellement ou collectivement, une pétition au sujet d’une question relevant d’un domaine de compétence de l’Union européenne et le concernant directement. Les entreprises peuvent exercer ce droit de pétition, garanti par le traité, si elles ont leur siège dans l’Union.
La pétition peut prendre la forme d’une plainte ou d’une requête et peut porter sur des affaires d’intérêt public ou d’intérêt privé.
La pétition peut être une demande individuelle, une plainte ou une observation concernant l'application du droit communautaire ou une incitation lancée au Parlement pour qu’il prenne position sur un sujet. Ces pétitions permettent au Parlement européen de mettre en évidence une violation des droits d'un citoyen européen par un État membre ou par des autorités locales ou une autre institution."