Le Nouveau Coaching Ethique est spécialisé dans le traitement du harcèlement moral dans le couple, la famille et l'entreprise. Accompagnement psychologique des femmes victimes, coaching juridique, reconstruction sociale et professionnelle. Prévention et défense face aux pervers narcissiques et manipulateurs. Spécialiste aussi du coaching des femmes confrontées à tous les enjeux professionnels et/ou personnels de la vie moderne et en quête de liberté.
mardi 26 décembre 2017
mardi 14 novembre 2017
Le nouveau site du cabinet LE NOUVEAU COACHING ETHIQUE
Nouveau site, nouveau logo ! Le cabinet de conseil et de coaching de Sophie Soria-Glo communique pour apporter plus de visibilité aux victimes de ce fléau qu'est le harcèlement moral dans le couple, la famille et l'entreprise.
Le nouveau site de Sophie Soria-Glo et de son cabinet LE NOUVEAU COACHING ETHIQUE pour savoir quoi faire face à du harcèlement moral dans la vie privée et professionnelle.
Sophie Soria-Glo
Coach certifié, Victimologue et
Juriste, conseille les femmes victimes du harcèlement moral dans le
couple, la famille et l'entreprise.
Spécialiste de la défense et de la reconstruction des
femmes victimes de manipulateurs, pervers, destructeurs et autres
personnalités toxiques de notre époque.
Formateur et consultant, conseil en communication et
créateur d'événements, écrivaine, conférencière, 35 années d'expérience
dans les professions du conseil, près de 20 années dans le métier de
coach.
Le coaching
consiste à s’associer avec un expert qualifié — le coach — dans un processus
créateur et apte à susciter la réflexion afin de maximiser le potentiel
personnel et professionnel.
Le coaching est
tourné vers l’avenir, orienté vers l’action, axé sur un objectif avec un plan
de travail structuré.
La victimologie
est l’accompagnement social et judiciaire des victimes et la recherche sur la
cause des victimisations sur le plan sociologique.
Portrait
de Sophie Soria-Glo
Sophie Soria-Glo est coach
certifiée depuis près de 20 ans, formée à la méthode « Reconstruire sa Vie
Adulte, du projet professionnel au projet de vie ».
C’est une méthode de résilience
personnelle, professionnelle et sociale créée par le psycho-sociologue Frederic
Hudson, l’inventeur du coaching aux Etats-Unis.
Elle possède un diplôme de coach
obtenu dans une prestigieuse école de développement personnel et professionnel.
Elle a été formée aussi aux
techniques de l’entretien non-directif et semi-directif, à la PNL, à l’Analyse
Transactionnelle, au coaching de dirigeants en individuel et en équipe, au
coaching en groupe, à la victimologie avec une psychologue et au Droit des
Victimes de harcèlement moral sur le terrain avec plusieurs avocats.
Juriste de formation et ancienne
journaliste économique et sociale, elle est aussi formateur-consultant, conseil
en communication, écrivaine et conférencière.
Elle entame sa carrière de coach
en entreprise en 1999 et aide des managers et dirigeants sur des problématiques
de management, conflits, médiation et harcèlement moral.
Dès ses premières missions de
coaching en entreprise, elle aide des managers et dirigeants harcelés.
Elle effectue aussi des missions
de coaching multi-culturel à l'étranger.
Mais le coaching est
instrumentalisé dans les entreprises. Elle subit de la pression sur le secret
professionnel du coach.
En 2002, elle créée son propre
cabinet de conseil pour vivre son métier de coach selon ses valeurs.
Elle n'obtient que très peu de
contrats en entreprise. Sa prise de position en faveur du secret professionnel
du coach ne plaide pas pour elle. C'est le moins qu'on puisse dire.
En 2004, elle doit alors
effectuer une mission temporaire de coach d'étudiants et responsable
pédagogique en école de commerce, filière Ressources Humaines, pour
pouvoir survivre. Elle découvre alors le coaching des jeunes et tout leur
enthousiasme pour leur profession et leur avenir.
En entreprise, on ne veut
plus faire appel à ses services de consultant. Elle est
"black-listée". A quoi peut bien servir une coach qui ne répète pas
quoique ce soit à la Direction ni aux DRH et qui refuse de trahir la confiance
des personnes qu'elle accompagne en faisant des rapports clandestins à leur
propos ?
Par respect de ses valeurs
et de son éthique, elle se voit obligée de renoncer à intervenir
dans le monde du travail par sa profession de conseil très rémunératrice.
Si réussir et gagner des sous
implique de trahir, alors NON MERCI !
Ce sacrifice financier l'amènera
de façon progressive à devenir coach des victimes de harcèlement moral.
Elle se met à coacher des
particuliers H/F en quête de sens, de bonheur et de vérité : créateurs
d’entreprise, chercheurs d’emploi, managers, femmes désirant retravailler après
avoir élevé leurs enfants et... des victimes de harcèlement moral au
travail !
A partir de 2007, elle s’investit
dans le secteur associatif pour faire connaître la problématique des pervers
narcissiques et de leur harcèlement moral dans le milieu familial ainsi que
pour défendre les enfants victimes.
En 2008 et 2009, elle co-organise
en bénévolat 2 colloques au Sénat et réalise une action de Plaidoyer en faveur
de la cause des victimes, enfants et femmes.
Elle sensibilise les médias en
faisant venir les journalistes à ces colloques.
Elle participe à l’élaboration de
la loi du 9 juillet 2010 contre le harcèlement moral dans le couple.
Elle est auditionnée par un
député de l'Assemblée Nationale, rapporteur de cette proposition de loi
sur la violence intra-familiale.
Elle se spécialise alors dans le
coaching des femmes victimes de manipulation perverse.
A travers tout ce bénévolat associatif,
elle a pu se former au traitement du harcèlement moral en rencontrant sur un
plan professionnel les plus grands experts psychiatres, psychologues,
psychothérapeutes, juristes, avocats, syndicalistes et de nombreuses
victimes.
De quoi se forger son opinion en
comparant les méthodes des autres professionnels de différentes
disciplines.
Elle est alors formée par une
juriste d'association à l'accompagnement juridique des victimes.
Elle lance un blog pour dénoncer
toutes les injustices dans le traitement du harcèlement moral
par la Justice familiale.
Elle est l'une des premières
à parler des pervers narcissiques sur la toile.
Ce blog lui attire les demandes
de victimes de harcèlement moral au sein du couple, dont la première, une
journaliste londonienne qui la découvre, lui déclare : "Je divorce d'un
pervers narcissique, je veux que vous soyez mon coach !"
Elle enverra toutes ses amies à
Sophie Soria-Glo.
Enthousiasmée par ce
nouveau challenge inattendu, Sophie Soria-Glo se spécialise dans la luttte
contre les manipulateurs de couple.
Elle met en pratique tout ce
qu'elle appris dans le milieu associatif qui lui a servi de formation.
Puis au fur et à mesure, elle
élabore ses propres théories et met au point sa méthode de coaching juridique
et judiciaire pour les victimes de harcèlement moral.
En animant avec des avocats son
groupe de parole mensuel destiné aux femmes victimes, elle s'est également
formée sur le terrain à partir de cas pratiques au droit des
victimes et aux différentes formes de procédures.
Depuis 2011, Sophie a coaché en
entretiens individuels des dizaines de femmes ciblées par du harcèlement moral
dans la vie privée ou professionnelle.
Elle pratique un coaching
opérationnel, stratégique, juridique et comportemental qui permet à chaque
femme victime de s’en sortir et de se reconstruire en développant son autonomie
et son leadership.
Sophie Soria-Glo a suivi des
formations au métier de coach par la psychologie humaniste.
Elle possède un Master (BAC + 4 )
en Administration Economique et Sociale (AES) obtenu en 1984 à l'Université de
Paris 1 Panthéon Sorbonne où elle a notamment étudié le Droit.
Elle a travaillé en Sociologie et
Analyse du discours sur l'image des hommes à l'heure du développement des produits
de beauté qui leur sont dédiés et de la mode des "nouveaux
pères".
Le sujet de son mémoire de Master
a pour titre : "La presse masculine : quelles images des hommes ?
".
Elle a étudié et comparé l'image
des hommes dans la presse masculine traditionnelle du style PLAYBOY et LUI
ainsi que dans la nouvelle presse destinée aux hommes dans les années
1980.
Cette étude sociétale du
positionnement des hommes dès 1984 lui permet d'avoir aujourd'hui une vision
sociologique du décalage entre les aspirations des hommes et celles des femmes,
source en grande partie selon elle du harcèlement moral dans le couple et au
travail, en raison des stéréotypes de genre qui perdurent encore de nos
jours.
Les hommes ont perdu confiance en
eux face à l'émancipation féminine. Ils n'ont pas encore trouvé une façon
nouvelle d'affirmer leur virilité sans violence relationnelle.
La violence transgénérationnelle
dans les familles, qui n'a pas été traitée ni éradiquée depuis des millénaires,
a produit une nouvelle génération d'hommes reproduisant ce qu'ils ont vécu au
sein du clan familial.
Il faudra une évolution sociétale
profonde pour que le mécanisme de la perversion narcissique soit évacué des
cours de récréation où sévit le harcèlement moral, phénomène qui se reproduit
dans le milieu professionnel et la vie personnelle des hommes et des femmes de
notre siècle.
Sophie Soria-Glo possède près de
20 ans d’expérience dans le métier de coach.
Elle connait bien le monde de
l’entreprise et le secteur associatif où elle est intervenue en tant que coach,
consultant, formateur, conseil en communication, journaliste d’entreprise et
spécialiste en événementiel.
Il faut un profil diversifié pour
faire face aux harceleurs de bureau qui sont souvent les mêmes que ceux qui
harcèlent dans le couple et le milieu familial.
Le pervers narcissique harcèle
son entourage à la fois dans la vie privée et professionnelle. Il lui faut une
cible dans chaque secteur pour se valoriser aux dépends des autres et se sentir
supérieur à la femme qu'il domine.
Harcèlement
moral dans le couple : anticiper les manœuvres du manipulateur, trouver la
technique pour stopper la vendetta judiciaire acharnée contre vous
La coach spécialisée Sophie
Soria-Glo va aider la victime à faire face aux procédures par la préparation
mentale par exemple, qui est une technique issue du sport.
Elle va aider la victime à mettre
au point un argumentaire de défense car cette coach spécialisée est
capable de se mettre en quelque sorte "dans la tête du manipulateur"
afin d’anticiper ses attaques.
Bien sûr vous avez un avocat,
mais il ne peut pas répondre à toutes vos demandes, en particulier par manque
de temps.
C’est pourquoi il est très
important de faire appel aux services d’un expert qui sera là à vos côtés pour
gérer la relation avec le manipulateur de couple, lors du divorce en
particulier ainsi que pour les divers conflits au sujet de la garde des
enfants.
Harcèlement
moral au travail : trouver la stratégie opérationnelle qui permet de
sortir de la crise
Dès 1998, à l’âge de 40 ans,
Sophie Soria-Glo a entamé une reconversion professionnelle de son 1er métier de
journaliste et conseil en communication, afin de répondre à la crise dans les
médias et à son désir de s’impliquer dans la vie des autres pour les aider au
lieu de rester en observateur dans son poste de journaliste.
Pendant 2 ans, un week-end par
mois et au cours de divers stages de formation professionnelle, elle suit des
cours pour se former à la profession de coach dans un organisme de formation
permanente dont elle obtient le diplôme ou « certification » en 2000.
Elle poursuit sa formation
pendant un an de plus avec d’autres stages de spécialisation.
Elle a également suivi des cours
dans une autre école, ce qui lui permet d’avoir une autre vision du coaching à
son actif.
Pour être un bon coach
opérationnel, il faut avoir suivi soi-même non seulement une formation mais
aussi une thérapie pour guérir de ses blessures d’enfance.
Sophie Soria-Glo a elle-même
suivi une psychothérapie de type analytique et une psychanalyse avec un médecin
psychiatre victimologue entre 1988 et 1991. Puis elle a suivi une
psychothérapie complémentaire pendant ses études de formation au
coaching.
Au cours de ses études et après
son diplôme de coach, Sophie Soria-Glo intervient pendant 5 ans en tant que
coach professionnel dans diverses entreprises qu’elle quitte pour ne plus
devoir subir de pressions sur la rupture du secret professionnel.
Elle s’oriente alors vers le
coaching de professionnels et de particuliers qui paient les séances à leurs
frais.
Le concept du « Coaching
Ethique » est fondé sur une prise de position simple à comprendre.
Un vrai coach professionnel et
éthique doit :
·
avoir été formé
et certifié dans un organisme reconnu ;
·
avoir fait
soi-même une psychothérapie pour guérir ses propres blessures d’enfance, sinon
il ou elle ne peut pas aider les autres à résoudre leurs problèmes.
·
respecter le
secret professionnel quoi qu’il lui en coûte ;
·
ne pas utiliser
soi-même de méthodes occultes ou ésotériques comme la voyance dans sa
pratique ;
·
ne pas envoyer
non plus les clients chez des charlatans de l’occulte et des pseudo « arts
divinatoires » pour soi-disant compléter son accompagnement ;
·
ne pas prétendre
guérir qui que ce soit puisque ce n’est pas son métier.
Bibliographie
- « Harcèlement moral dans
le couple, la famille ou l’entreprise : comment entrer en Résistance
contre les manipulateurs toxiques et pervers de notre monde moderne ».
Guide pratique d’auto-défense
publié par Sophie Soria-Glo en juin 2016, 500 pages, 25€.
Frais postaux d'envoi : 10€.
Commande par mail auprès de
l’Auteur : coachingethique@gmail.com
Présentation
du livre
Le livre qui montre comment les
pervers ont infecté la France et se sont hissés au plus haut niveau de la
société.
Couple, famille, entreprise,
Fonction Publique, etc. et sans oublier les organismes religieux telles les
églises des différentes religions : comment faire pour expulser les
pervers de l’action publique de notre pays ?
Ils ont infiltré, ils sont
partout bien installés. Le livre permet de les démasquer et de donner les
moyens de lutte que l’on soit leur victime comme dans le mariage et la famille
ou leur collègue de bureau voire leur supérieur qui n’ont pas envie de se faire
embêter par ceux qui veulent prendre leur place.
Par la méthode du harcèlement
moral on peut avoir toutes les places qu’on veut dans la société actuelle.
Et bien par la méthode de ce
livre on peut avoir toutes les places qu’on désire sans se faire harceler ni devenir
harceleur soi-même.
Une place importante est donnée à
la protection de l’enfant dans notre pays où le manipulateur peut se
reconnaître au fait qu’il s’en prend aux plus faibles, ce qui n’est pas un acte
de courage bien entendu.
Bonne lecture à toutes celles et
tous ceux qui n’ont pas envie de devenir la victime occulte principale de ces
mafieux pervers et toxiques de notre époque ainsi qu’à toutes celles et ceux
qui, étant déjà victimes, n’ont pas envie de le rester à vie voire jusqu’à la
mort et au suicide.
Avec les recommandations de
l’Auteur sous forme de Fiches Pratiques pour savoir comment s’en sortir et ne
plus subir.
« Ces 490 pages sont de la bombe
atomique, j’espère que vous allez vous régaler à les lire. » L’Auteur.
LES ENGAGEMENTS DE SOPHIE SORIA-GLO EN FAVEUR DES
VICTIMES : SECRETARIAT NATIONAL DE L'ASSOCIATION A.V.H.M.V.P.
Aide aux Victimes de Harcèlement Moral dans la Vie privée
et Professionnelle
Reconnue d'intérêt général
Sophie Soria-Glo assure les
missions bénévoles de Secrétaire Nationale et Chargée de la Communication de
cette Association 1901 reconnue d’intérêt général.
Elle se tient à la disposition de
tous ceux qui veulent organiser une conférence ou une rencontre dans leur
ville, leur mairie ou leur association.
L’Association AVHMVP a été créée
en 2011 par un salarié victime de harcèlement moral au travail. Marqué par le
suicide de l’une de ses amies qui était elle-même victime de harcèlement moral,
il décide créer l’AVHMVP pour aider toutes les victimes. Il en est le Président
de manière bénévole.
Sophie Soria-Glo rejoint cette
association dès sa création en tant que Personne Ressource et conseil en
communication bénévole du Président.
Elle se rend à Nantes aussi
souvent que possible pour participer aux activités d’aide aux victimes.
En 2012, elle créée le groupe de
parole parisien de l’Association.
En 2015, elle devient Secrétaire
Nationale AVHMVP et prend en charge la communication associative sur le blog
associatif de l’AVHMVP et sur les réseaux sociaux.
Elle est également responsable de
l’antenne parisienne de l’Association AVHMVP et responsable des relations
adhérents sur l’adresse mail de l’Association.
L’Association AVHMVP est complètement indépendante,
apolitique et non confessionnelle.
L’Association AVHMVP n’a pas de
salariés. Elle ne prend pas en charge les accompagnements individuels des
victimes, sauf cas exceptionnels où Sophie Soria-Glo accepte d’offrir quelques
heures de coaching solidaire en bénévolat.
Ses intervenants sont tous des
bénévoles y compris les dirigeants du Bureau.
A.V.H.M.V.P. Aide aux Victimes de
Harcèlement Moral et de Violences Psychologiques dans la vie privée et
professionnelle.
Association 1901 déclarée à la
Préfecture de Loire Atlantique le 1er février 2011. R.N.A. : W442007975.
jeudi 5 octobre 2017
Notre réunion gratuite de soutien aux victimes de harcèlement moral et de violences psychologiques dans la vie privée et pro continue à Paris comme chaque mois depuis 5 ans : le samedi 14 octobre à 10h.
Lieu : Maison des Associations de Paris 11è, au 8 rue du Général Renault, métro Voltaire Léon Blum.
Réunion gratuite et réservée aux femmes pour se confier de façon plus libre.
On peut adhérer à l'Association au tarif modique de 30 EUR annuels.
Groupe de parole avec atelier juridique animé de façon bénévole par Sophie Soria-Glo, coach spécialiste et un avocat spécialisé en Droit des Victimes.
INFOS PRATIQUES
L'inscription n'est pas indispensable pour se rendre aux groupes.
Pour tout renseignement, contactez Sophie Soria-Glo, secrétaire bénévole de l'Association et coach certifiée : par mail à harcelement@emailasso.net
jeudi 7 septembre 2017
Harcèlement moral : pourquoi l’entreprise ne soutient pas la victime ?
Le Nouveau Coaching Ethique : cabinet spécialisé dans le coaching des victimes de harcèlement moral. Voila les 10 raisons
pour lesquelles l’entreprise ne soutient pas la victime et les conseils de la
coach spécialiste pour s’en prémunir. Tous ces exemples sont basés sur des cas réels
que Sophie Soria-Glo a eu à traiter avec ses clientes en tant que coach expert
de la lutte anti-manipulateurs au travail. Elle coache dans son cabinet privé
des femmes ciblées par des profils « pervers narcissiques » ou
manipulateurs au sein de l’entreprise mais aussi du milieu familial.
1- L’entreprise n’est
pas formée à détecter le manipulateur surtout quand celui-ci se fait passer
pour la victime.
Se faire passer pour la victime en cas d’enquête interne
est l’une des grandes techniques du manipulateur qui harcèle. Et comme en face
on a la vraie victime, l’enquêteur interne est perdu. Le ou la DRH est
complètement perdu aussi. Le ou la responsable d’équipe également. Il ou elle
peut relayer la version du manipulateur / trice en accusant la victime de tous
les maux y compris devant tout le monde lors d’une réunion par exemple.
En général, l’entreprise ne s’adresse pas à un consultant
extérieur tant qu’un drame n’est pas survenu : le suicide d’un ou
plusieurs salariés.
Parfois, dans le meilleur des cas, l’entreprise engage un
coach pour la victime si c’est un cadre, afin d’améliorer sa communication ou
ses résultats.
Mais comme le coach généraliste n’est pas formé non plus à lutter
contre le harcèlement moral ni à le détecter, la victime n’est pas plus avancée
pour autant. Elle peut toujours améliorer 100 fois sa communication, le
harcèlement moral perdure. Et parfois jusqu’au « burn out ».
Dans ce cas, le consultant extérieur doit être formé au
traitement du harcèlement moral. Il faut aussi que le consultant ou le coach
ait réglé ses propres problèmes de rapports avec la violence.
Autrement il risque de craquer et de ne pas pouvoir aider la
victime. On m’a raconté l’histoire vraie d’une consultante qui pleure suite à
un entretien de gestion des conflits où il y a du harcèlement moral et de la
perversité, de la violence psychologique.
Donc le ou la consultante qui n’est pas capable supporter
la violence du harcèlement moral sur quelqu’un d’autre n’est pas capable non
plus d’aider qui que ce soit à s’en sortir et à ne plus subir.
Des formations à la détection des pervers narcissiques et
de leur harcèlement moral dans les entreprises françaises sont indispensables. Mais
comme on ne les fait pas, les victimes ne peuvent pas compter sur de l’aide en
interne.
2- L’entreprise n’a
pas la moindre définition du harcèlement moral qui est souvent confondu avec un
conflit de personnes.
Sur le plan des concepts, on met à tort le harceleur et la victime
à égalité. Or le harcèlement moral est basé sur le concept d’agressions souvent
répétitives. Et l’agression quelle qu’elle soit est illégale.
Dans le contexte
de l’agression, le bourreau et la victime ne sont pas à égalité puisque l’un
veut détruire l’autre et utilise la violence pour ce faire. La définition du
conflit c’est quand 2 personnes ne sont pas d’accord. Mais elles se respectent
et elles peuvent s’entendre à trouver un compromis.
Dans le harcèlement moral au
contraire, ce qui domine c’est l’agression et la volonté de détruire l’Autre. Mais
cette idée est évacuée en général dans les entreprises au profit du concept de
conflit. On ne comprend pas ce qui se passe.
La définition juridique incluse dans la loi ne suffit pas
pour déterminer la cause du harcèlement, ses modalités, ses techniques, les
moyens que le harceleur emploie et qui ne sont pas toujours identiques en
fonction des cas.
Ainsi, sans base théorique pour analyser la situation, on
ne risque pas de la résoudre et d’en trouver la solution avec réponse adaptée
au cas. Il s’agit alors d’une méconnaissance sur la nature du problème voire
sur son existence.
3- L’entreprise ne
comprend pas que pour l’agresseur, la victime est sa « chose ».
Car le harcèlement moral « chosifie » et « instrumentalise »
la personne humaine pour en faire un objet dont se sert le harceleur dans le
but de se valoriser aux dépends des autres.
C’est la définition même de la « perversion narcissique », maladie
mentale qui a été mise au jour en 1984 par l’éminent psychiatre Racamier,
découvreur du concept.
Cependant tous les harceleurs ne sont pas des malades. Certains
sont des opportunistes, des envieux, des jaloux, des prédateurs.
Tous cependant
nient la qualité de sujet à leur victime. Elle est vue comme un objet. C’est
une forme de totalitarisme.
4- Les DRH n’ont pas
suivi non plus de formation pour détecter les pervers en entreprise.
La perversion a ceci de spécifique qu’elle provoque dans
l’esprit humain une réaction de rejet.
L’esprit humain n’est pas capable
d’affronter le mal absolu, la violence totale : de façon automatique et
inconsciente, il met en place un mécanisme de protection en se disant que tant
d’horreur n’est pas possible. Non ce n’est pas réel. C’est le phénomène de
« l’inquiétante étrangeté »
décrit par Freud.
Ainsi les responsables RH en entreprise qui sont chargés du
dossier ne parviennent pas à réaliser qu’un salarié veut vraiment en détruire
un autre, juste pour s’amuser et en tirer une jouissance sadique-anale.
Ce
n’est pas qu’un pervers : c’est aussi un criminel qui recherche et espère la
soumission totale puis le suicide de sa victime.
Un responsable RH qui n’est pas formé à détecter le
harcèlement moral ne peut pas suspecter la dangerosité du toxique.
Il ne peut
pas admettre qu’autant de mal existe dans l’Univers ni qu’il a fréquenté chaque
jour un criminel dans son entreprise depuis des mois et des années. « Je ne comprends pas. Avec moi, Monsieur Untel est sympathique »
est en général la réponse bateau que reçoit la victime quand elle vient pleurer
dans son bureau.
C’est surement que la victime doit être trop sensible.
Pourquoi ne ferait-elle pas une thérapie pour devenir enfin un être humain dans
la norme ?...
Ce genre de raisonnement est complètement erroné. Est-il besoin
de le dire ?
5- L’entreprise
budgétise les frais de procès et d’avocats dans ses frais annuels.
Donc si la victime va se plaindre devant les tribunaux on
considère que ce n’est pas grave : on a déjà prévu un budget pour ces
frais annexes.
De plus les avocats employeurs ont des techniques bien
connues pour licencier les victimes, empêcher que le scandale du harcèlement
moral puisse éclater au grand jour et entache la réputation de l’entreprise.
Si la victime porte plainte au pénal, elle peut faire
condamner l’entreprise. Elle devient donc l’ennemie de l’entreprise et il faut
la licencier par tous les moyens et le plus vite possible. Voire la faire
sombrer dans le découragement pour qu’elle parte d’elle-même.
6- L’entreprise
soutient la hiérarchie : dans la majorité des cas, le harceleur est le N+1
de la victime.
Sanctionner un harceleur même pervers revient à retirer son
soutien aux rapports hiérarchiques et à créer un précédent au sein de
l’organisation. C’est cela qui fait peur.
On ne peut pas sanctionner un manager
au moindre conflit tant qu’on n’est pas sûr que c’est vraiment du harcèlement
moral. Et comme on n’a pas les bases pour repérer le harcèlement moral, le cas
n’est pas traité. Ça tourne en rond.
Si le harceleur ou harceleuse est un ou une collègue :
il s’agit d’un cas de harcèlement dit « horizontal » et non pas « vertical » comme avec le N+1.
Dans ces situations le
manipulateur ou la manipulatrice va profiter d’un défaut de management du chef
de l’équipe pour pratiquer le harcèlement moral impunément.
Le boss ne cadre pas assez ses troupes, les frontières sont
floues, il ou elle ne met pas de limites, les ordres ne sont pas assez clairs.
Et surtout, le boss n’est pas formé à détecter le harcèlement moral.
Il veut
éviter les conflits dans son équipe pour ne pas se faire mal voir par sa
hiérarchie. Il ne va pas traiter le problème et il va mettre la couverture
dessus pour étouffer l’affaire. Personne ne doit savoir.
La victime qui vient se plaindre de harcèlement moral à ce chef va s’entendre
dire qu’elle doit faire plus d’efforts pour mieux s’entendre avec les autres.
Elle doit s’adapter.
Les victimes dans ces cas sont souvent de jeunes salariés
hautement diplômées et à des postes techniques, l’informatique ou la gestion
par exemple.
7- Le DRH ou N+2 à qui
la victime va exposer sa situation a peur de se faire repérer par le
manipulateur pervers et d’être l’objet de sa vengeance.
C’est le cas du DRH ou du Directeur qui n’est pas
courageux.
Il ou elle craint comme la peste les représailles du manipulateur
pervers.
La crainte d’être le prochain sur la liste de victimes du manipulateur
empêche ce dirigeant de mettre fin au harcèlement moral au sein de
l’organisation.
Le manipulateur est en effet dans un sentiment de
toute-puissance : il ne supporte pas qu’on lui résiste et adore se venger
pour montrer que c’est lui le plus fort.
Le DRH ou N+2 fera alors semblant d’aider la victime mais en
réalité il ne fera rien et laissera pourrir la situation.
Dans ce cas, les ressources humaines de l’organisation ou
le grand dirigeant N+2 sont des complices de fait du harcèlement moral. Qui ne
dit mot consent.
J’ai même eu le cas où la Direction — hypocrite comme tout et
complice du manipulateur — a demandé conseil à la victime sur ce que l’entreprise
doit faire. La victime n’est pas un consultant. Ce n’est pas à elle de trouver
la solution au harcèlement moral en dictant à la Direction les mesures à
prendre.
Et oui, il arrive que l’entreprise balade les victimes et se moque d’elles
de cette façon.
8- Par calomnies,
rumeurs et mensonges, le harceleur fait passer la victime pour folle,
dépressive, incompétente etc.
De façon parallèle il la pousse à la faute par ses
comportements de pression. A cause du harcèlement moral car il n’est pas géré
par la Direction ou les RH, la victime finit effectivement par sombrer en
dépression ou en « burn out »,
à faire des fautes professionnelles et à ne plus avoir un comportement normal
au bureau.
Elle se désocialise et ne peut plus faire confiance à qui que ce
soit.
Elle se sent mal à l’aise, tombe souvent malade et
multiplie les absences et congés maladie. Dans ce cas il est facile au manipulateur
d’affirmer : « Je vous l’avais
bien dit ! Elle est folle, c’est une malade ! ».
Là aussi,
on voit que ça tourne en rond.
La détresse de la victime ne peut pas être entendue :
celle-ci n’est plus audible ni crédible
face à la Direction ou aux Ressources Humaines. Elle est complètement
discréditée. La situation est enlisée.
Il est parfois trop tard pour la victime qui ne peut pas remonter la
pente.
9- L’entreprise n’ose
pas se mettre en porte-à-faux avec le manipulateur qui a souvent un poste
élevé, au niveau Comité de Direction par exemple.
Car le principe de l’organisation est de soutenir ses
membres actifs, surtout s’ils font partie de l’élite du pouvoir.
N’oublions pas
que le DRH fait lui aussi partie du CoDir et qu’il doit subir le manipulateur
en réunions de Direction. Tous ces dirigeants aux hauts postes se serrent les
coudes entre eux.
L’argument invoqué est que le harceleur harcèle peut-être un
peu certes, mais qu’il est performant et efficace dans son travail. Il fait
gagner de l’argent à l’entreprise.
Alors on peut passer l’éponge s’il est
parfois un peu caractériel. Il a ses petites manies, ses petites lubies. Rien
de grave, au fond.
L’entreprise minimise ainsi les fautes de ses cadres
dirigeants alors que c’est un délit de faire du harcèlement.
De plus, l’entreprise peut avoir opté pour un management
par la division selon le bon vieux principe du « Diviser pour mieux régner ». Il vaut mieux dans ce cas ne pas
gérer les conflits et laisser les salariés se dévorer entre eux.
Au moins,
pendant ce temps-là ils ne feront pas de revendications salariales ou autres. Et
ils ne réclameront pas quoi que ce soit.
10- C’est trop dur de
licencier quelqu’un à un poste de pouvoir parce que ça coûte trop cher.
Sanctionner un harceleur par la voie hiérarchique en lui
faisant la morale pour que son harcèlement moral s’arrête n’aura aucun effet.
Le
manipulateur pervers est dans un sentiment de toute-puissance, conforté par
l’impunité.
La médiation par exemple ne sert pas à quoi que ce soit
avec ces profils toxiques. Il ne peut pas y avoir de médiation puisqu’il n’y a
pas soi-disant de harcèlement moral : c’est le manipulateur qui se prétend
victime. Ou qui affirme que la victime est une affabulatrice : il n’a rien
fait, c’est elle qui est folle, elle ment etc.
Pour stopper le harcèlement moral que réalise un tel
pervers, il faut donc le punir et le licencier.
Mais licencier un pervers de haut vol coûte plus cher que
le licenciement voire la rupture conventionnelle de la victime car celle-ci se
trouve en général à un poste inférieur.
De plus le harceleur se lancera dans une vendetta
judiciaire contre l’entreprise avec procès à répétition et demandes
d’indemnités exorbitantes.
Comme toujours, le manipulateur pervers fera le Calimero et clamera que son
licenciement est injuste.
C’est le même cas que dans les divorces avec un manipulateur
: il fait le Calimero devant la Justice afin de faire croire aux juges de la Famille et de l'Enfance qu'il est la victime d'une femme manipulatrice et infecte.
En réalité il ne supporte pas la rupture du couple. Il se venge par procédures abusives devant les tribunaux.
C’est pourquoi il porte
plainte sous le moindre prétexte contre la femme qui a osé se révolter et le
quitter.
Il multiplie les procédures pour un oui pour un non, le plus souvent
au sujet de la garde des enfants qui sont pris en otages voire maltraités
pendant les droits de visite, un WE sur 2 et la moitié des vacances.
Ainsi pour
assouvir sa vengeance, le manipulateur va instrumentaliser autant des enfants innocents
que le système judiciaire de notre pays.
Ces femmes qui divorcent de manipulateurs pervers sont
aussi mes clientes et je les aide à sortir de cette emprise judiciaire horrible
exercée par leur ex conjoint.
Il est très important pour les clientes que la coach Sophie Soria-Glo connaisse aussi le comportement des manipulateurs dans la vie privée. C'est ainsi qu'elle parvient à coacher mieux encore leurs victimes au travail. Et inversement.
Les DRH en entreprise savent très bien la vendetta
judiciaire interminable qu’ils risquent avec des pervers de cette espèce.
Parce
que c’est plus facile et pour ne pas s’opposer au pervers que l’on redoute, on
licencie donc la victime sous divers prétextes.
Ou bien on la met en inaptitude
ou on use de tout autre moyen de s’en débarrasser dans gérer le véritable
problème qui est : on a un harceleur dans l’entreprise.
Un poison dans l’organisation.
Un ver dans le fruit.
Au lieu d’être dans une logique humaine et managériale, on se place en logique de
coûts.
Ça coute plus cher de licencier le harceleur que la victime.
Cependant, le coût réel du harcèlement moral va se révéler
par la suite si le harceleur continue sur une 2nde cible.
Et
ainsi de suite sur une 3è etc.
C’est le cas le plus dangereux : celui du « harceleur en série » ou « serial harceleur » comme j’appelle
ces types en m’inspirant de la
criminologie.
Le « serial
harceleur » a un mode opératoire, un profil de victime qu’il préfère
et de sérieux doutes sur sa virilité.
C’est pourquoi il choisit les femmes
comme cibles. Ce sont ces victimes dont je suis la coach, au travail et dans la vie familiale. C’est mon expertise.
Ce sont les mêmes comportements et les mêmes profils, comme coulés dans le même moule. Leurs comportements sont en fait prévisibles. Leurs réactions aussi.
On a le même cas de harcèlement en série avec les « serial pervers » en entreprise. Leur harcèlement
sexuel est une forme sexiste de harcèlement moral.
Sauf que dans le harcèlement
sexuel, le pervers peut harceler plusieurs victimes à la fois. Il est donc plus
facile de trouver des preuves de ce harcèlement en interrogeant les autres
victimes du « serial pervers »
obsédé sexuel et grand malade mental.
Tandis que pour le harcèlement moral, les persécutions sont
plutôt étalées dans le temps : le « serial harceleur » passe en général d’une victime à l’autre.
Quand il a fini avec l’une et l’a bien
détruite, il s’en prend à une autre et c’est sans fin. D'une victime à une autre etc.
On peut cependant espérer que les facilités de licenciement
et le plafonnement des indemnités Prud’hommales avec les ordonnances de la
nouvelle Loi Travail vont permettre de licencier enfin les manipulateurs,
pervers, harceleurs et autres toxiques dans les entreprises de France.
Quelles sont les
solutions pour la femme victime de harcèlement moral ?
Voila 3 conseils de base, fondés sur mon expérience terrain
de coach des femmes victimes de manipulateurs pervers au sein des
entreprises :
1- La victime n’alerte
pas la hiérarchie sur son harcèlement si elle n’est pas sûre qu’elle sera
soutenue.
Cela ne sert à rien de se faire cibler en tant que victime
et donc Ennemie Public Numéro 1 de la boite qui va causer des problèmes et des
procès à son employeur.
Aller vous plaindre dans le bureau d’un Directeur ou d’un
DRH qui n’a pas l’intention de vous aider à vous en sortir est une perte de
temps et une humiliation inutile. Surtout si on décide de vous licencier pour
vous faire taire.
Dès qu’on prononce les mots « harcèlement moral »
on est ciblé de suite comme futur justiciable qui va porter plainte et nuire
ainsi à l’entreprise.
Si vous voulez en parler, évoquez plutôt le conflit, les
difficultés dans la relation.
Ça vous permettra de tâter le terrain et de
savoir si le harceleur est la star de la société qu’on ne doit pas contrarier.
2- La victime ne porte
pas plainte à tort et à travers, surtout sans preuves, parce que sinon ça se
retournera contre elle.
Elle ne doit pas croire qu’elle sera sauvée par le système
judiciaire. D’une part, la procédure peut prendre des mois et des années. Et en
attendant, elle souffre !
D’autre part, même si la victime obtient gain de cause en Justice, le
harcèlement continuera mais pas seulement de la part du pervers : de la
part aussi de l’entreprise qui se venge d’avoir une brebis galeuse dans ses
rangs.
Et donc il faut la faire partir et la dégoûter de rester.
On ne s’adresse à la Justice qu’en cas de licenciement
abusif. Si on est en poste, c’est contre-productif de le faire.
3- La victime doit chercher
une stratégie efficace dont le but est de stopper le harcèlement moral et de
préserver son employabilité future.
Il n’y a pas de stratégie miracle ni de conseil à donner à
tout le monde et qui soit le même pour chacun. Chaque cas est un cas
particulier.
Il faut analyser la situation, comprendre le profil du
harceleur pervers ou de la harceleuse, quels sont ses mobiles et ses
motivations et quelles sont les issues de sortie pour la victime.
C’est pourquoi il faut se faire accompagner par un coach
anti-manipulateurs qui est un spécialiste et un expert à la fois du terrain
mais aussi au plan juridique.
La reconstruction de soi et la recherche des causes
viendront ensuite, dans un second temps. L’urgence pour la victime est d’abord
de s’en sortir.
Le coaching des victimes de harcèlement moral
La forme de coaching que je pratique est orientée vers
l’action.
C’est donc du coaching opérationnel exercé par un spécialiste qui va
vous chercher le poisson et pas vous donner la canne à pêche pour attraper le
poisson vous-même, selon la célèbre métaphore de l’un des inventeurs du
coaching en France.
Avec la recherche de solutions, la coach que je suis propose
des options aux victimes de harcèlement moral.
L’analyse de la situation avec ma grille d’expert permet de
présenter les options aux clientes.
C’est la méthode américaine qui fait que le
coach propose des choix possibles pour agir.
La cliente fait alors son choix et
décide en fonction de ses valeurs, de ses projets, de ses objectifs
professionnels et de carrière, etc.
C’est plus qu’un coach, c’est un conseiller que je suis.
Parce que j’ai l’expertise et l’expérience.
Il y a une définition du coaching qui me correspond et
que j’aime beaucoup.
Elle est basée sur la « relation d’alliance » dont la victime a besoin pour ne pas être seule face au manipulateur
: « Le coaching consiste à s’associer avec un expert qualifié — le coach — dans un processus
créateur et apte à susciter la réflexion afin de maximiser le potentiel
personnel et professionnel. »
Dernier point et en conclusion : le "victim blaming" est un sport national en France. Je ne le pratique pas.
Ce n'est pas la faute d'une femme, belle, noble, intelligente et généreuse si elle est tombée sur un manipulateur qui a fait une fixation sur elle.
Sophie Soria-Glo
Coach certifié et juriste, 18 ans d’expérience, spécialiste
du coaching des victimes de harcèlement moral
CONTACT POUR PRENDRE RDV : coachingethique@gmail.com
Harcèlement moral dans le couple, la famille et l'entreprise : Apprenez à vous défendre !
La méthode de la coach certifiée Sophie Soria-Glo pour coacher les victimes de harcèlement moral.
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